28 rue du Four

LE 28 RUE DU FOUR - UNE ADRESSE ICONIQUE 

Transmise de génération en génération, de femme en femme, de mère en fille et aujourd’hui de mère en fils… La boutique au 28 rue du four a toujours été animé par l’amour du
bijou, l’amour du métier d’artisan mais aussi de celui du commerçant… 

L'histoire d'une joaillerie DANS LE quartier DE saint-germain-des-près À PARIS

Depuis toujours le quartier de Saint Germain-des-Près est considéré comme le plus beau de Paris mais il cache bien d’autres histoires. Au milieu du XIXème siècle, il devient un haut lieu de la culture avec la présence des plus grands artistes tels que : Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Racine, Balzac, Georges Sand transformant le quartier en lieu de rencontre littéraire et artistique.

 

Au début des années 1970, la popularité de Saint-Germain-des-Près connaît un rayonnement à l’international et devient de plus en plus touristique. Ce changement donne un nouveau souffle au quartier avec l’implantation de nombreuses marques de luxe : Yves Saint Laurent Rive Gauche, Sonia Rykiel, Louis Vuitton, Christian Dior. Petit à petit les grandes joailleries suivent la tendance et c’est l’apparition des collections de joaillerie dans les grandes maisons comme Van Cleef, Poiray et aussi la maison Briard…

une adresse, le  28 RUE DU FOUR

Située au coeur du quartier de Saint-Germain-des-Près, la boutique au 28 rue du Four, ouvre ses portes pour la première fois le 11 Août 1922 et ne les a jamais refermées depuis pour fêter aujourd’hui ses 100 ans de vie. Quatre générations se sont succédé pour faire de ce lieu une joaillerie parisienne unique, de référence pour les amateurs de beaux bijoux, que l’on ne trouve pas dans toutes les autres joailleries. 

L’histoire familiale commence avec Madame Héloïse Briard qui reprend la bijouterie déjà présente à cette adresse pour la faire entrer dans le patrimoine familial. À l’origine, l’enseigne portait son nom de jeune fille, “H. Cousin” puis fût changé quelques années plus tard en “H. Briard”, son nom d’épouse. À ses débuts, la bijouterie vendait essentiellement des bijoux en argent, de l’argenterie pour l’art de la table, de l’orfèvrerie et l’horlogerie. 

 

En 1958, Fabienne L’herminier, sa fille, reprend l’écrin familial avec son mari Bertrand L’herminier qui est passionné d’horlogerie. Ils deviennent l’un des premiers concessionnaires des montres Oméga à Paris. En 1969, Fabienne sent la tendance de créer un univers autour des bijoux, la marque Diamantissimo est créée. Avec un concept très avant-gardiste, la boutique se fait une place de renom et créer son image de marque avec son packaging hors du commun : une boîte à thé métallique pour emballer les bijoux. Jeunes de 35 ans, ils voient la transformation du quartier Saint-Germain-des-prés. Les années 1970 sont des années prospères en matière de création, la boutique contribue à la renommée de nombreux créateurs : Dinh Van connut grâce à son motif « menottes » et Pascal Morabito avec son « Diamant Libre ». Au fil des années, la boutique connaît différents slogans : « Diamantissimo toute l’actualité des montres et des bijoux » et « Diamantissimo témoin de vos anniversaires intimes »

 

En 1993, Virginie L’herminier, succède à la deuxième génération avec le souhait de conserver l’idée et perpétuer le savoir-faire. Une nouvelle vague de créateurs apporte de réelles innovations dans les bijoux et une richesse de l’offre comme Red Line, O fée, Perle de Lune, Alexander Fuchs… Elle anime les lieux et continue d’éveiller sa clientèle en proposant des bijoux qui brisent les codes de la joaillerie classique. L’objectif est de proposer des pièces originales et inscrites dans leur temps dans un écrin intime niché au cœur du 6e arrondissement de Paris.

 

L’arrivée de son fils Pierre en 2019 va encore enrichir la maison et le lieu. Il souhaite faire perdurer cet héritage familial dont il est si fier, il décide d’insuffler un nouvel élan au lieu notamment avec le développement d’une offre sur mesure. Il crée également Studio 28, une marque  de bijoux réalisés à partir de pierres dormantes aux tons vifs et chatoyants. En valorisant ces pierres habituellement laissées de côté, mises au rebut, il invente une nouvelle esthétique et casse à nouveau les codes de la joaillerie classique.

une FAMILLE, 4 Générations de savoir-faire

Pour célébrer ce siècle d’anniversaire, Pierre, directeur artistique, de la maison a imaginé 4 bijoux uniques pour retranscrire l’esprit des quatre générations qui se sont succédé 28 rue du Four. 

Une parure d’oreille asymétrique pour les années 30

Un bijou d’oreille inspiré de l’art déco et des années folles. Asymétrique, la parure d’oreille « Éloïse » reprend les lignes géométriques du début de siècle avec le panache des artistes plumassiers et l’esprit festif des soirées parisiennes d’entre-deux guerre. En or 750°°, diamants et cristaux bruts, cet ensemble habille la tête et danse avec souplesse afin de rappeler le panache de cette époque.


Un sautoir précieux à l’esprit 70’s

Un sautoir 70’s inspiré directement par le logo Diamantissimo et la boutique de 1969. Le sautoir « Fabienne », imposant, interprète la frontière mince entre bijouterie précieuse et fantaisie de l’époque. On retrouve l’iconique cube qui rythme la vie de Diamantissimo depuis son lancement ! C’est une référence à l’art cinétique de Vasarely et sa période Op Art qui a marqué la décennie ainsi que le sens de l’esthétique de la grand-mère Fabienne.

 

Une bague architecturale, le savoir-faire des années 2000

S’il y a une chose que Virginie aime par-dessus tout, ce sont les bijoux qui ne laissent pas indifférents. La bague éponyme est une “statement ring” s’il en est. Toi et moi impossible, un béryl taille princesse de près de 5 carats lévite face à une héliodore ovale de 2 carats. Ses lignes épurées sont un miracle de travail bijoutier. Inspirée par les créateurs joailliers chers à la maison, la bague offre un profil pour émerveiller celle qui la porte.


Une manchette suspendue symbolise l’avenir du 28 rue du Four

Entre l’amour de l’éclat du métal et la fascination pour les gemmes, il y a Pierre. Un aptonyme qui n’est sans doute pas un hasard pour un fils, petit-fils et arrière-petit-fils de joaillières. C’est simplement une évidence ! Sa manchette, quatrième bijou de l’exposition, illustre sa passion pour les pierres étonnantes et méconnues. Du cube iconique de la maison, s’échappent une multitude de pierres plus étonnantes les unes que les autres, dont les teintes de vert présagent la longévité et l’avenir étincelant qu’il souhaite pour les 100 prochaines années.

 

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